C’est un château qu’on pénètre, une embrasure, un cran, un pli, un coup de marteau, peut-être une ruine.
C’est une poignée de boutons d’or, l’allié de nos heures libres, l’objet de nos soucis, étrange et familier.
C’est un chemin qu’on prend, qu’on emprunte plutôt.
Tendons le bras, le col, le cou pour nous en saisir et marcher, dans la combine ou dans la boue.